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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 14:44

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le bénévolat,

C'est l'art de la gratuité du coeur,

Le bénévolat ne connaît d'autres lois,

Que le besoin de l'autre,

Percevoir avec lui et trouver ensemble,

Les solutions nécessaires.

L'engagement bénévole,

Ne serait-ce pas là une façon d'humaniser,

Une société qui s'individualise de plus en plus?

Le bénévolat,

C'est une fleur que l'on s'offre.

C'est un cheminement personnel.

C'est une fenêtre ouverte sur le monde.

Le bénévolat,

Il a tellement de valeur,

Qu'il n'a pas de prix.

 

 

Texte d'auteur inconnu.

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 10:39

 

 

 

 

 

 

 

 

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Si demain je devais mourir
Ne me pleurez pas
Éteignez la flamme de mon souvenir
Et vivez pour moi

 

Finissez ce que j' ai commencé
Écrivez, je n' écrirai plus
Dansez comme j'aime danser
Vivez comme je ne vivrais plus

Rouvrez le livre de ma vie
Quand l'absence se fera trop dur
Soyez de ces cœurs purs
Qui ne tombent jamais dans l'oubli

Si je devais mourir demain
Rien ne changerait
Un peu de tristesse à l'aube du matin
Et puis la vie continuerait

Si demain je meurs
Promettez moi
De faire de chaque seconde
Un instant de bonheur

Si demain je pars
Faites de ce nouveau jour
Une éternelle promesse d'avenir et d'amour.


Auteur inconnu .

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 08:40

 

 

 

 

 

 

 

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Rappelle-toi, quand sous la froide terre
Mon cœur brisé pour toujours dormira ;
Rappelle-toi, quand la fleur solitaire
Sur mon tombeau doucement s'ouvrira.
Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle
... Reviendra près de toi comme une sœur fidèle
Écoute dans la nuit,
Une voix qui gémit :
Rappelle-toi...

Renferme-t-il une pensée ?

Ta fleur, hélas ! a la blancheur
De la désolante innocence ;
Mais de la craintive espérance
Ta feuille porte la couleur.

As-tu pour moi quelque message ?
Tu peux parler, je suis discret.
Ta verdure est-elle un secret ?
Ton parfum est-il un langage ?

S'il en est ainsi, parle bas,
Mystérieuse messagère ;
S'il n'en est rien, ne réponds pas ;
Dors sur mon cœur, fraîche et légère.

Je connais trop bien cette main,
Pleine de grâce et de caprice,
Qui d'un brin de fil souple et fin
A noué ton pâle calice.

Cette main-là, petite fleur,
Ni Phidias ni Praxitèle
N'en auraient pu trouver la sœur
Qu'en prenant Vénus pour modèle.

Elle est blanche, elle est douce et belle,
Franche, dit-on, et plus encor ;
A qui saurait s'emparer d'elle
Elle peut ouvrir un trésor.

Mais elle est sage, elle est sévère ;
Quelque mal pourrait m'arriver.
Fleurette, craignons sa colère.
Ne dis rien, laisse-moi rêver.

Alfred de Musset.
  fg5ovk88
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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 10:48

 

 

 

 

 

 

            

                                    

            

                      belle image

                       

 

Aux étoiles j'ai dit un soir :
« Vous ne paraissez pas heureuses ;
Vos lueurs, dans l'infini noir,
Ont des tendresses douloureuses,

Et je crois voir au firmament
Un deuil blanc mené par des vierges
Qui portent d'innombrables cierges                             
Et se suivent languissamment.

Êtes-vous toujours en prière ?
Êtes-vous des astres blessés ?
Car ce sont des pleurs de lumière,
Non des rayons, que vous versez.

Vous les étoiles, les aïeules
Des créatures et des dieux,
Vous avez des pleurs dans les yeux... »
Elles m'ont dit : « Nous sommes seules,

Chacune de nous est très loin
Des soeurs dont tu la crois voisine ;
Sa clarté caressante et fine
Dans sa patrie est sans témoin ;

Et l'intime ardeur de ses flammes
Expire aux cieux indifférents. »
Je leur ai dit : « Je vous comprends !
Car vous ressemblez à nos âmes ;

Ainsi que vous chacune luit
Loin des soeurs qui semblent près d'elle,
Et la solitaire immortelle
Brûle en silence dans la nuit. »

 

 

Auteur Sully Prudhomme ( la solitude 1869)

image offerte par

    image centerblog chez Michelem         merci Michèle  .                   

                                                                                              

 

                                                                        

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 07:12

 

 

 

 

 

 

 

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Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
 
Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes ;
Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ;
Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l'étoile du soir se lève dans l'azur.
 
Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encor jette un dernier rayon,
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l'horizon.
 
Cependant, s'élançant de la flèche gothique,
Un son religieux se répand dans les airs,
Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts.
 
Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente
N'éprouve devant eux ni charme ni transports,
Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante :
Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts.
 
De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l'immense étendue,
Et je dis : « Nulle part le bonheur ne m'attend. »
 
Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
 
Que le tour du soleil ou commence ou s'achève,
D'un oeil indifférent je le suis dans son cours ;
En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève,
Qu'importe le soleil ? je n'attends rien des jours.
 
Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière,
Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ;
Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire,
Je ne demande rien à l'immense univers.
 
Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,
Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux,
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre,
Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux !
 
Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ;
Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour,
Et ce bien idéal que toute âme désire,
Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour !
 
Que ne puis-je, porté sur le char de l'Aurore,
Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi !
Sur la terre d'exil pourquoi restè-je encore ?
Il n'est rien de commun entre la terre et moi.
 
Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !

 

Auteur Lamartine.

 

 

              c9ggqwsl

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 13:05

                              

 

 

 

 

 

                 

                              Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 

 

Poème par L.  des mots et des images

 

L’averse est passée
Emportée par le vent
Comme la nuit par le temps.

Ici s’éveille le lys,
... Avec lui vient la vie
L’amour, le soleil, le rythme,

S’ouvre un sublime ballet
Dans les parfums du parterre
Que survole lentement l’éphémère.

Souple et indolent, il danse
Pour le jour qu'il encense
Pour la lune trop comblée.

Et voilà que les fées,
Dans l’âme un brin de jalousie
Viennent l’épier, ravie

Avant que n’expirent ses ailes
Fanées et las de ritournelles
Avec ses brèves parades.

Si le texte est soumis à des droits d'auteur , à sa demande je m'engage a retiré celui ci ou d'y ajouter son lien.Merci.

 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 09:12

 

 

 

 

 

 

 

 

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Apprivoiser la mort

Dans la cage des mots,

Où le silence de l'oiseau

Est un chant de lumière.

Danser avec la mort pour cavalière,

Et rire dans le soleil,

A chaque faux pas.

Apprivoiser la mort ,

Dans les allées du ciel,

Et jouer avec elle,

Sur l'infini damier des âmes.

 

Texte de Françoise Urban- Menninger.

 

(Si l'image ainsi que le texte sont sous droits d'auteurs,  merci de me le signaler, sur votre demande je les retirerai ou me ferai un plaisir d'y mettre votre lien).

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 12:14

 

 

 

 

 

 

 

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Je te donne l'impression que je suis forte.
Je te donne l'impression que je suis secoure,
Que tout est ensoleillé en moi
A l'intérieur comme à l'extérieur.
Que "confiance" est mon nom
et que "calme" est mon surnom.
Que la mer est calme et que c'est moi le maître.
Que je n'ai besoin de personne
Et que je m'arrange toute seule...
Mais ne me crois pas,
Je t'en supplie, écoute ce que je ne dis pas...
Regarde-moi, tout semble bien aller;
Je fais un visage sévère ou je ris tout le temps,
Mais sous mon vrai masque toujours changeant qui me cache,
Là est mon vrai moi, mon moi confus, apeuré, seul,
Mais je le cache depuis si longtemps.
Personne ne doit le savoir.
Mes faiblesses me font peur,
Alors je joue à la plus forte et j'ai peur
Que l'on découvre ce petit enfant enfermé en moi,
Qui a tellement soif d'amour et de tendresse
Et qui aurait le goût de pleurer.
Alors, je me protège contre toi, contre moi

J'ai peur d'être découverte.
Je me protège de ton regard de bonté,
De ton oreille trop attentive.
J'ai peur que ton regard et que ton écoute
Ne soient pas suivi d'accueil et d'amour.
J'ai peur que comme les autres  tu me laisses tomber.
J'ai peur de baisser dans ton estime
Alors je fais semblant d'être une autre
En disant par mon attitude "ne m'approche pas".
Et pourtant, je voudrais que tu approches.
J'aurais besoin de t'ouvrir mon coeur
Mais j'ai peur que tu ries de moi.
Et si tout à coup tu riais de moi,
Ton rire me ferait mourir et l'enfant blessé en moi
S'en remettrait très difficilement.
J'ai peur, j'ai peur de ma fragilité
Et j'ai peur de ton regard,
J'ai peur que tu découvres qu'au fond de moi,
Je ne suis rien.
Alors que je suis si tendre, si fragile, si faible
Là où toi tu parais si fort.
J'ai peur que tu vois que je ne suis
Qu'un petit enfant blessé sous ma carapace.
Un petit enfant qui a refoulé ses larmes depuis si longtemps.
J'ai peur que tu le voies et me rejettes.
Alors je joue mon jeu, je fais semblant,
Je me durcis, je fais des farces,
Je joue mon jeu de théâtre
Avec mon décor de femme forte,
Mon décor extérieur de sécurité.
Et pourtant, à l'intérieur, je tremble.
Je tremble comme un enfant fragile.
C'est pour cela que je m'amuse
A te parler de n'importe quoi.
Je te dis des riens et je te parle de tout,
Sauf de ce qui crie en moi.
Je te parle de tout sauf de mon coeur,
Sauf de ma blessure qui saigne.
Mais je t'en supplie, ne te laisse pas tromper
Par mon attitude froide, ou fermée, ou trop superficielle.
Je t'en supplie, écoute mon coeur qui ne parle pas,
Mais qui aimerais tant pouvoir le dire pour me libérer.
Car toi seul pourrait me faire croire
Que je vaux vraiment quelque chose,
Qu'il y a du bon en moi
Et que quelqu'un pourrait m'aimer pour moi-même.
Je voudrais m'ouvrir à toi.
Je voudrais être spontanée, tendre et vraie;
Car au fond, je déteste me cacher
Et jouer ce jeu de masques,que je joue depuis si longtemps.
Je voudrais être moi-même mais je n'ose pas, j'ai peur.
J'ai peur de ne pas être acceptée.
J'ai peur d'être jugée, rejetée,
Et je suis enfermée derrière les barreaux de ma prison intérieure
Et ne sais plus comment ouvrir la porte.
Alors je t'en supplie, approche-toi doucement...
Il faut que tu m'aides.
Écoutes ce que je ne dis pas
Et aime-moi derrière mon masque.
Peut-être que par ton amour inconditionnel
Qui capte au-delà des apparences et des mots,
J'apprendrai à aimer la personne que je suis!!!

 

  

Texte trouvé sur le Net auteur inconnu.

 

 

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 10:42

 

 

 

 

 

 

 

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Si seulement il existait des mots
qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux
ceux qui ne peuvent rien briser.

Je les placerais devant toi
sur une tendre mélodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit.

De ta tendresse et de ta douceur
ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton coeur
un amour infini.

Pourquoi donc cette solitude
d'un coeur qui a tant souffert,
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire.

Ce matin je pense à toi
et les mots dansent devant mes yeux,
j'aimerais être dans tes bras
plus un seul mot rien que nous deux.

Dans le silence de chaque mot
il y a tant de parole et d'amour
que tout ce que mon coeur trouve beau,
grandit à chaque jour.

 

(Auteur inconnu)

 

  c9ggqwsl

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 14:45

 Si Fragile,  nous sommes si fragiles...........

 

 

 

 

 

 

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Mes bleus au coeur s'étaient estompés
Je les avais oubliés
Certains ont disparu
Mais d'autres sont apparus.



Les démons du passé
Reviennent me hanter
Les démons d'aujourd'hui
Me pourrissent la vie
Et ceux de demain...
Mais aurais-je encore assez de force demain ?



Ma carte d'identité était périmée
Alors une nouvelle j'ai commandé
Et à "Signes particuliers"
Ils n'ont pas oublié de noter
"Si fragile en dedans".



Ma fragilité me suivra pas à pas
Elle ne me lâchera pas
Elle sera là toute ma vie
Parce que c'est comme ça que je suis...
Si fragile en dedans.



Trop fragile en dedans...

 

 

Auteur   Sadness Angel

 

                                    c9ggqwsl

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